Décidément il n’y a rien à faire: pas moyen de faire un album, scrapbook, whatever de voyage rapidement après mon retour. Je suis pleine de bonne volonté pourtant: je charge bien toutes les photos sur le PC, je les classe. Non je ne commande pas celles qui me plaisent en prévision de l’album « réel », non, ça ça va me prendre au moins 6 mois. Je relis mes notes de voyage, je fais le tri parmi toutes les brochures, doc et autres rassemblées pendant le périple. Mais je m’arrête là. Ce doit être une malédiction liée au fait que je ne trouve jamais d’album qui me plaise ou coûte moins d’un rein. On va dire que c’est ça la raison, hein? Une bonne petite malédiction. Eurêka, le blog est là me suis-je dis lorsque j’ai pris le clavier! Je vais poster mes photos préférées et y adjoindre mes commentaires et anecdotes. Pas d’album à choisir, pas de malédiction. Ca avait plutôt
nouvelle-zélande
Ah le beau pays que voilà!
Celui des Kiwis bien sûr! S’il fallait que je ne garde que quelques photos des magnifiques paysages de Nouvelle-Zélande, ce serait celles-là (parmi les 2412 photos que nous avons dû faire):
Ma jupe de fée
Je n’avais pas prévu d’aller faire du shopping ce week-end là. Ce week-end là le programme c’était Picasso, les 60 ans de mon Papa, le plaisir de réunir nos parents chez nous après avoir été absents presqu’un mois. Pas de temps à perdre dans les boutiques. Et pourtant… Et pourtant en revenant du Grand Palais nos pas nous ont conduits devant la boutique Tara Jarmon des Champs Elysées. En vitrine les premières pièces de la collection Printemps. En rayon, -50% sur la collection Hiver. Hop! les garçons à la maison, les filles dans la boutique. Ce que Maman et Lulu ont acheté est un secret. Par contre moi j’ai craqué. Pour des chaussures (what else?). Et une jupe. Mais pas n’importe laquelle. Celle-là
L’équation néo-zélandaise
Tout le monde vous le dira, je suis une très grande matheuse. De celles qui sortent leur boulier pour compter sur leurs doigts. Mais pendant notre séjour en Nouvelle-Zélande il y a une équation que j’ai plutôt bien intégrée: mouton + opossum = bonheur du dressing. Démonstration!! Mon seul achat fringue de Nouvelle-Zélande s’appelle Mérinomink, un savant mélange de laine mérinos chaude et douce et de fourrure d’opossum chaude, aérienne et qui ne prend pas la poussière (véridique). Kaikoura est une ville qui nous a porté bonheur: c’est là que nous avons vu nos premières otaries, Tiaki le cachalot, mangé des langoustes et trouvé l’ami merinomink. La boutique à pulls ne paye pas de mine, mais on y trouve de très jolies choses: t-shirts en laine et soie, pull en laine merinos et cachemire, pulls et vestes en merinomink…. Il faut que je retrouve leur carte, on peut commander en ligne. PS: Et en prime avec mon pull je fais
Le zoo du bout du monde…dans l’eau
Promis je vous donnerai aussi des infos pratiques pour votre futur voyage au Paradis, mais pour le moment on continue notre promenade parmi la faune de la Nouvelle-Zélande. Aujourd’hui quelques images de la faune marine. On commence par mes chouchoutes: les otaries à fourrure, rebaptisées « crapounettes de mer » par mes soins. D’où vient cet élégant surnom plein de finesse et de poésie? Mais de mon chat chéri bien sûr! Shali est une crapounette, une petite chose pleine de poils, toute douce et qui passe ses journées à paresser ou dormir sur les coussins ou au soleil. Et bien les otaries pareil. Sauf qu’elles nagent. Crapounettes de mer. CQFD.