Décidément il n’y a rien à faire: pas moyen de faire un album, scrapbook, whatever de voyage rapidement après mon retour.
Je suis pleine de bonne volonté pourtant: je charge bien toutes les photos sur le PC, je les classe. Non je ne commande pas celles qui me plaisent en prévision de l’album « réel », non, ça ça va me prendre au moins 6 mois.
Je relis mes notes de voyage, je fais le tri parmi toutes les brochures, doc et autres rassemblées pendant le périple.
Mais je m’arrête là. Ce doit être une malédiction liée au fait que je ne trouve jamais d’album qui me plaise ou coûte moins d’un rein. On va dire que c’est ça la raison, hein? Une bonne petite malédiction.
Eurêka, le blog est là me suis-je dis lorsque j’ai pris le clavier! Je vais poster mes photos préférées et y adjoindre mes commentaires et anecdotes. Pas d’album à choisir, pas de malédiction.
Ca avait plutôt pas mal commencé pour la Nouvelle–Zélande. Et puis ça s’est arrêté là.
Zut, flûte, parachute!!!
Et les moutons alors? Et les petits conseils pratiques? Pfff, quelle nazette cette Nahn!
Promis je vais les terminer ces mini-chroniques néo-zélandaises. Je vais même commencer par me faire mentir, moi qui ai répété à qui voulait l’entendre qu’on ne mangeait pas super bien en Nouvelle-Zélande.
Parce que c’est vrai qu’on ne mange pas très bien. Ils ont des fruits et légumes à profusion, mais ne savent pas ce qu’est l’agriculture intelligente et raisonnée, résultat ni goût ni saveur les abricots, aucun intérêt les avocats 😦
La viande? Humpf, bof…
Les fromages? Euh, leur donner le nom de fromage est un peu abusif. Ca a un minimum d’odeur (et de saveur) le fromage.
En résumé, les aliments de base ils ne savent pas faire. Il faut dire que leurs inspirations sont britanniques et américaines. Je ne vous fais pas de dessin, la cuisine ne les intéresse pas.
Par contre, par contre, ils ont de très bons poissons et fruits de mer, ils ont appris à faire le vin et ils sont gourmands comme des chats!
Il faut donc envisager un énorme sacrifice en Nouvelle-Zélande: se nourrir éxclusivement de langoustes, crevettes et autres moules accompagnées d’un délicieux petit chardonnay et faire couler le tout avec une part de carrot cake couvert de topping au citron de la mort qui tue.
Il faut savoir faire quelques sacrifices (sa balance notamment) lorsqu’on visite ce pays far far away.
L’adresse de ce joli restaurant:
42°25 South café
146 Esplanade
Kaikoura (Canterbury)
Réservations: south4225@yahoo.com
On mange très bien sur les plages aussi. Chez nous il y a des baraques à frites ou à chichi-beignets-chouchous. Là-bas c’est plutôt baraque à crayfish…
Bizarrement nous nous sommes arrêtés à Kaikoura à l’aller et au retour. Allez comprendre pourquoi.
Petite pause à l’ancienne Wool House des anciens docks d’Oamaru…oui, tout est vieux dans cette ville, à part le carrot cake. Enfin, si 1870 peut être considéré comme du vrai vieux pour les Européens que nous sommes 🙂
Et pour finir ce pourquoi la Nouvelle-Zélande commence a être très célèbre: son vin.
Dégustation au domaine de Cloudy Bay (Marlborough). Luxe, calme et volupté.
A retenir: en faisant quelques petits sacrifices on peut vraiment se régaler en Nouvelle-Zélande. Il faut juste enlever les mots de diététique, régime, équilibre alimentaire, raisonnable de son vocabulaire.
« Il faut donc envisager un énorme sacrifice en Nouvelle-Zélande: se nourrir éxclusivement de langoustes, crevettes et autres moules accompagnées d’un délicieux petit chardonnay et faire couler le tout avec une part de carrot cake couvert de topping au citron de la mort qui tue. »
« Il faut juste enlever les mots de diététique, régime, équilibre alimentaire, raisonnable de son vocabulaire. »
En d’autres termes, je peux aller vivre en Nouvelle Zélande quand je veux. En fait, j’y vis déjà un peu. (beaucoup)
@ Marie: Y a moins de moutons que là-bas chez vous, mais pour les beaux paysages sauvages oui tu y es déjà 😀
Huum, ben ça m’a pas l’air mauvais tout ça !!
@ Violetine: C’était même très bon et c’est un peu le problème, nous sommes rentrés avec quelques kilos en trop 😀