Rendez-vous annuel avec le Ballet de l’Opéra de Lyon
Mardi soir nous avions notre rendez-vous annuel avec la troupe des danseurs de l’Opéra de Lyon au Théâtre de la
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Mardi soir nous avions notre rendez-vous annuel avec la troupe des danseurs de l’Opéra de Lyon au Théâtre de la
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La faute à « One flat thing, reproduced« . Nous avions tellement aimé ce morceau il y a 5 ans – déjà!
Je suis épouvantablement familière. Le Billy dont je veux vous parler n’a rien à voir avec un sac à main hautement désiré par la blogosphère mode, mais de William Forsythe, le brillant chorégraphe, partenaire hautement désirable du Ballet de l’Opéra de Lyon.
Le grand week-end de Pentecôte fut placé sous le signe de la danse pour la maison Papillons: La Bayadère à l’Opéra Garnier pour commencer, trois ballets par le Ballet de l’Opéra de Lyon pour le terminer. Deux moments de plaisir et d’émerveillement, deux très beaux cadeaux. La Bayadère pour commencer. Des années qu’elle n’avait été présentée à Paris. Comme toutes les œuvres reprises par Noureev, La Bayadère est devenu un ballet totalement époustouflant par sa technicité et sa magnificence. Je passe sur l’histoire, elle est classique: amour, promesses, trahison, vengeance, désespoir et rédemption… les ingrédients habituels d’un livret de ballet classique. Ce qui change un peu, c’est que l’action se passe – selon le livret – en Inde, ce qui permet un joli renouvellement des décors et costumes. Dans la version que nous avons vue vendredi dernier ce n’est pas en Inde qu’elle nous emmène, c’est dans un Orient de rêve, un Orient imaginaire, qui n’existe que dans nos songes
Cette semaine j’ai eu la chance et la joie de voir un très très bon spectacle de danse. Trois morceaux signés William Forsythe, l’immense chorégraphe américain. Souvenez-vous, la dernière fois que j’avais vu de la danse au Théâtre de la Ville j’avais été un peu désarçonnée (c’est le moins que l’on puisse dire). Les espérances et attentes sur le spectacle du jour étaient donc plutôt haute. Premier passage: « Second detail ». 14 danseurs. Du gris souris du sol au plafond et en passant par les danseurs. Une musique signée Thom Willems toute métallique.