Où j’ai faillu tuer un cordonnier

Les gens qui me suivent sur Twitter le savent déjà, j’ai vécu il y a peu un joli drame chaussuresque. Un vrai bon drame chaussuresque qui – à ce jour – n’est toujours pas résolu et qui continue à me faire enrager 5 fois par jours. Ce ne sont que des chaussures me direz-vous. Et vous aurez raison, ce ne sont que des chaussures, mais moi les chaussures j’adore ça, je leur voue une adoration quasi sans borne et donc lorsqu’on abîme mes chaussures je deviens gentiment hystérique. Début du drame: mon cordonnier d’amour est fermé pour raisons de santé et a la mauvaise idée d’habiter dans mon quartier préféré, celui où j’ai laissé mon cœur: le XVIIIème arrondissement. Il me faut donc m’organiser savamment et prendre le métro pour apporter mes chaussures se faire soigner. Et parfois c’est vraiment compliqué de prendre une heure et demie pour aller jusque là-bas. Résultat il y a quelques semaines j’ai décidé de

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Prendre une veste…

… et si possible la bonne (mouah ah ah elle est bien bonne!) Comme je le disais chez Géraldine suite à son poste tout douillet et bien emmitouflé, cette arrivée précoce et un peu violente de l’automne me déprime un peu. Plus tard je sors mes collants et mes bottes, mieux je me porte. Les manteaux et les écharpes hyper chaudes n’en parlons pas! Petite consolation, la fraicheur me permet (enfin) de porter mon blouson en agneau Comptoir acheté au printemps que j’ai finalement très peu porté jusqu’à présent car la jolie chose est chaude!

Une tenue complètement noeud-noeud

Et je ne dis pas ça uniquement à cause de la ceinture. Elle est très jolie cette ceinture, nous sommes bien d’accord. Je l’adore. Par contre quelle chianlie à utiliser! Elle se ferme par 4 petits boutons… dans le dos. Je vous laisse donc imaginer la scène lorsque l’envie vous prend de visiter les little girls’ rooms: défaire les boutons, sortir partiellement la ceinture des passants du pantalons… et rebelote pour tout remettre. Durée du pipi: 15 minutes. Limite si les gens n’envoient pas des secours pour voir si vous n’êtes pas coincée dans les toilettes. Mais passons sur ces bêtes détails pratiques, il faut souffrir pour être jolie paraît-il 🙂

Marinière isn’t dead!

Il y a quelques jours ELLE s’interrogeait sur l’état de santé de la marinière: morte ou pas la bidulette rayée? Ce qu’en disent les modeuses et autres papesses du style, j’avoue, personnellement je m’en contre-fiche en ce qui concerne ma marinière bien-aimée. Elle fait tout simplement partie de mes basiques, mes indispensables, mes indémodables. Même si elle est démodée. Pire je crois même que ça m’arrange qu’elle passe un peu de mode. Oui, c’est moche de dire ça, je sais. Je continue donc à porter mes rayures plus souvent qu’à mon tour, dans toutes les nuances de l’arc-en-ciel. Avec mes Repetto couleur « Maroc » et mon foulard bleu rapporté de Bali, je me prends pour un petit matelot au long cours 🙂

Mon p’tit léopird

Je sais que les blagues les meilleures sont aussi les plus courtes, mais la fourrire, la panthire, le rénart, le rat misqué et autre chienchila ça continue à m’éclater. Trop de Rabbi Jacob est peut-être mauvais pour la santé, mais personnellement je ne m’en lasse pas. Pas de manteau de fourrire ici, juste un petit top imprimé dont j’aime autant la coupe que l’imprimé. Pas de quoi fouetter un chat me direz-vous, sauf que moi l’imprimé léopird au delà de mon Blondie adoré et bien je n’avais jamais osé. Sur un sac, des chaussures ou un foulard, même pas peur, j’assume très bien. Sur un vêtement, je suis – comment dire? – restée très vieille France qui flippe que l’effet ne soit pas celui voulu. Et puis une fois trouvés le bon tissu (de la soie), le bon imprimé (si, si) et la bonne coupe, il n’y avait plus qu’à me lancer. C’est du très très simple et facile pour

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