Fred et Jean-Baptiste
Mon petit doigt me dit qu’on entre en Vargas comme en religion. Je veux dire: quel autre auteur incite une
Mon petit doigt me dit qu’on entre en Vargas comme en religion. Je veux dire: quel autre auteur incite une
Je ne sais plus comment au cours de mes pérégrinations bloguesques je suis tombée sur les titres de ces deux
C’est la quatrième de couverture de ce roman qui m’a fait l’emporter et l’acheter. « Ils ne se marièrent jamais et n’eurent aucun enfant ». Une histoire d’amour sans happy end? Le tout traité par l’urticant Frédéric Beigbeder? Ok, cela se tente. Il est très agaçant Frédéric Beigbeder, ce monsieur m’énerve en trois phrases lorsque je l’entends à la radio ou lit sa prose dans un magazine. Mais j’ai adoré « Un roman français » où j’avais découvert la très belle plume et la sensibilité du monsieur agaçant. « Oona et Salinger » – puisque c’est de ce roman dont il s’agit – a réussi à m’agacer à plusieurs reprises car Frédéric ne peut s’empêcher de faire du Beigbeder et de le mettre en scène, mais dans l’ensemble j’ai beaucoup aimé ce roman inspiré de faits réels où l’on retrouve la belle plume fine et sautillante – oui, moi j’ai l’impression qu’elle danse la plume de Mr Beigbeder – de Mr B. qui s’est aussi manifestement
Cet été je me suis plongée dans le rangement de notre bibliothèque. J’ai poursuivi mon travail de tri en en
Partir en vacances avec comme objectif « ne rien faire », voilà quelque chose que je découvre juste. Jusqu’à l’été dernier je ne savais pas faire, j’avais oublié le farniente complet, ce sont mes vacances bretonnes pleines de soleil avec Hélène qui m’ont rappelé ce que cela pouvait être et à quel point cela faisait du bien. « Ne rien faire » était donc le mot d’ordre de notre séjour bahamien. Dormir, regarder l’océan, faire un peu de bateau, un poil de snorkling, siroter des cocktails, regarder le soleil se lever et se coucher, chercher des coquillages, trouver au moins un poppet (ie une mignonne bestiole) par jour, et lire, lire, lire… Nous sommes donc partis avec nos panoplies de plage, un joli paquet de livres et un iPad mini fraichement acheté rempli de livres électroniques. J’ai dévoré le premier – « Death on the Devil’s Acre » – dans l’avion à l’aller. Cela m’a presque fait oublier combien je détestais les