Je raye, tu rayes, elle raye…

Titre à 2 francs (souvenez vous cette monnaie disparue il y a 10 ans) (fermeture de la parenthèse économique) pour l’une de mes tenues chouchoutes de la semaine dernière. Pas de quoi fouettez un chat me direz-vous sauf que la semaine dernière j’ai dû penser à ma tenue du jour… la veille! Beaucoup de boulot oblige, j’ai quitté le nid à l’heure où je mange habituellement ma première cuillère de corn flakes tous les jours. Autant dire à l’heure où mon cerveau ne fonctionne pas encore et où il est indispensable que tout soit prêt et que je n’aie à penser à rien sous peine de catastrophe.

Mode de week-end

Certains week-ends j’ai envie de m’habiller: je sors une petite jupe, un joli top, un pull sympa, une petite robe, j’enfile des talons. Et puis d’autres… Mon dieu! Le week-end dernier ce fut le cas, et à part un micro-coup de pied au postérieur pour mettre un peu de rouge à lèvres ou ajouter un collier à ma tenue, j’ai tourné sur un uniforme que j’adore: jean + sweat + Repetto ♥♥♥

Little beige shoes

Voilà longtemps que je les avais dans le collimateur. Depuis les premières newsletters de Comptoir annonçant la nouvelle collection avec quelques visuels des pièces phares de la saison à venir en fait (no comment sur le bombardier, somptueux… 600€, la messe est dite). Ils ont très très vite été mis sur ma wish list. Qui ça? Mais eux bien sûr!

God save queen Annabel

Gros coup de déprime il y a peu: mon shoe-mojo semblait s’être fait la malle et m’avoir abandonnée comme une vieille chaussette. La faute à une paire de ballerine fort célèbre (si si) qui m’échappait. Une après-midi de shopping avec ma copine Camille suivie de longues heures de chasse dans les différentes boutiques où j’espérais les trouver et toujours rien. Je fulminais sévère et fulminais d’autant plus que du coup aucune autre paire de chaussures ne me plaisait. Fixette quand tu nous tiens. Et puis heureusement quelqu’un a inventé Annabel Winship, et elle ses chaussures, et j’ai été sauvée. Vendredi je suis partie avec ma copine Virginie sous le bras, direction l’atelier Velvetine pour une vente privée. Et là ô joie, ô bonheur, j’ai rencontré les nouveaux piliers de mes jours où je n’ai pas envie de réfléchir, où je veux juste être à l’aise dans mes escarpins Ggggaaaaaaaaaaaaaaahhh comme diraient mes p’tits lapins préférés (cherchez pas, je suis déjà

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