Old flame, new flame…

Allez hop! la sempiternelle ritournelle du nouveau parfum est repartie.
Vous vous souvenez? Il y a un an et des poussières je vous parlais de mon nouveau coup de cœur estival, le très réussi « Escale à Portofino » de Dior.
Trois flacons et une fin d »été plus tard et me revoilà m’interrogeant sur les options s’offrant à moi: en racheter un flacon illico presto ou bien céder à la tentation de la nouveauté, comprendre « Coco Noir » de la maison au double C.

A force de le sentir dans tous les aéroports (Varsovie, Milan, Düsseldorf…) et un ou deux Sephora, j’ai fini par en acheter un petit flacon en quittant l’Allemagne.
J’adore mon escale italienne, mais en cette période de changement de saison j’avais envie d’autres senteurs, un peu plus capiteuses, un peu plus sucrées, un peu plus présentes que celles très boisées et fraîches de mon eau fétiche (après trois flacons elle peut rentrer dans cette catégorie). Pour cela « Coco Noir » est parfait.

Mais surprise! en le respirant j’ai redécouvert « Allure » parfum adoré, porté à l’extrême lors de sa sortie mais abandonné depuis car je le croisais 20 fois par jour dans le métro ou au bureau.
J’avais oublié à quel point j’aimais ce parfum, son côté un peu « fumé ». Du coup je m’en suis offert un petit flacon, aussi.

On n’en sort donc jamais de cette course au « jus » parfait, à cette odeur qui pourrait être notre signature, de parfum qu’on oublie sur nos vêtements mais qu’on reconnaît instantanément sur notre peau….
Quelque chose me dit que cette odeur parfaite n’existe pas, pas plus que la paire de chaussures ou la veste parfaites n’existent mais c’est tendre vers elle qui est intéressant, c’est la « quête » qui est intéressante plutôt que l’objectif lui-même car sur le chemin on découvre des odeurs, on trouve des trucs qui sentent bons, parfois improbables, parfois délicieusement surprenants.

Bon, bref voilà, vous connaissez l’histoire de mes nouveaux sent-bons 🙂