Allez hop! la sempiternelle ritournelle du nouveau parfum est repartie. Vous vous souvenez? Il y a un an et des poussières je vous parlais de mon nouveau coup de cœur estival, le très réussi « Escale à Portofino » de Dior. Trois flacons et une fin d »été plus tard et me revoilà m’interrogeant sur les options s’offrant à moi: en racheter un flacon illico presto ou bien céder à la tentation de la nouveauté, comprendre « Coco Noir » de la maison au double C. A force de le sentir dans tous les aéroports (Varsovie, Milan, Düsseldorf…) et un ou deux Sephora, j’ai fini par en acheter un petit flacon en quittant l’Allemagne. J’adore mon escale italienne, mais en cette période de changement de saison j’avais envie d’autres senteurs, un peu plus capiteuses, un peu plus sucrées, un peu plus présentes que celles très boisées et fraîches de mon eau fétiche (après trois flacons elle peut rentrer dans cette catégorie). Pour cela « Coco Noir »
parfum
Escale à Portofino
Pourquoi faut-il que notre relation au parfum soit si compliquée? La « trêve » ne dure jamais plus que 4 ou 5 ans. Et puis la quête reprend, entêtante, enthousiasmante, frustrante…