Des journées entières dans les arbres
Une fois encore tout cela est de la faute à France Inter. Eclectik pour être précise. L’une des ces émissions
Une fois encore tout cela est de la faute à France Inter. Eclectik pour être précise. L’une des ces émissions
Faute de trouver une photo de la belle mise en scène de Christine Letailleur alors je vous mets un extrait du film d’Alain Resnais, ainsi vous aurez une idée du texte de Marguerite Duras. Une femme française, actrice en tournage à Hiroshima, rencontre un homme Japonais, ils deviennent amants, ils parlent de leurs passés, de la guerre. De son amant Allemand. Sujet joyeux et gai s’il en est… Je n’ai jamais vu le film d’Alain Resnais, je n’ai jamais lu le texte de Marguerite Duras, je savais juste que cette histoire était importante. Et puis j’aime tellement « La Douleur » de la même Duras, que j’étais curieuse de voir ce qu’elle avait pu « faire » du drame d’Hiroshima. Je ne m’attendais donc pas au récit auquel j’ai assisté avec Holy et Mr Papillon. La scène est plongée dans la pénombre, seulement éclairée par un spot qui pourrait être une lampe de chevet ou un éclairage de rue perçant à travers des rideaux
Le retour de mes petites photos made in BlackBerry toutes pourries 😉 Une femme écrit pour ne pas sombrer. Pour tenir la folie à distance. Pas beaucoup vraiment, juste un cheveu. Car elle attend un miracle venu de l’innommable.