Les gens qui me suivent sur Twitter le savent déjà, j’ai vécu il y a peu un joli drame chaussuresque. Un vrai bon drame chaussuresque qui – à ce jour – n’est toujours pas résolu et qui continue à me faire enrager 5 fois par jours. Ce ne sont que des chaussures me direz-vous. Et vous aurez raison, ce ne sont que des chaussures, mais moi les chaussures j’adore ça, je leur voue une adoration quasi sans borne et donc lorsqu’on abîme mes chaussures je deviens gentiment hystérique. Début du drame: mon cordonnier d’amour est fermé pour raisons de santé et a la mauvaise idée d’habiter dans mon quartier préféré, celui où j’ai laissé mon cœur: le XVIIIème arrondissement. Il me faut donc m’organiser savamment et prendre le métro pour apporter mes chaussures se faire soigner. Et parfois c’est vraiment compliqué de prendre une heure et demie pour aller jusque là-bas. Résultat il y a quelques semaines j’ai décidé de
