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Venise c’est notre parenthĂšse sans bruit, sans vĂ©los ou voitures insupportables, sans contrainte de temps, sans autre responsabilitĂ© que de regarder et admirer chaque parcelle des endroits oĂč nous nous perdons.

Venise c’est notre «doudou» nous a dit notre ami F. pendant que nous savourions nos premiers spritz ensemble (nous sommes 6 en goguette cette annĂ©e).
C’est vrai.
Alors comme touts les ans nous marchons Ă©normĂ©ment (si tu ne fais pas tes 15 kilomĂštres par jour, tu as loupĂ© ton sĂ©jour), rions beaucoup, admirons tout, passons un temps fou sur les ponts Ă admirer la vue, dĂ©vorons tramezzini et bruschetti en buvant des spritz, nous rĂ©galons de pignolate les pieds dans l’eau, saluons et fĂ©licitons tous les chiens que nous rencontrons.









Le marocchino chez Rizzardini, accompagnĂ© d’un tiramisu ou d’un chou au chocolat est toujours aussi dĂ©licieux, et fait de plus en plus d’adeptes.
Les quelques mĂštres au bord de l’eau et clair de l’une avant d’arriver chez Algiubagio toujours aussi magiques et sereins.
Oui, Venise est un doudou, et dans le fracas du monde, j’en ai plus que jamais besoin.
