Je lis très peu la presse people (à part quelques orgies de « Voici » l’été sur la plage). Je suis par contre fascinée depuis toujours par la personne qui se cache derrière les auteurs, les peintres et les artistes que j’admire. Comme si connaître leur histoire m’aidait à mieux comprendre leurs histoires et à en percer le mystère. Une douce illusion j’imagine, mais qui fait de moi une lectrice assez assidue de biographies et autres écrits romancés parlant de mes artistes favoris. Dernière lecture de ce type en date: « Les derniers jours de Stefan Zweig », dévoré en quelques jours au cours de mes trajets en métro quotidiens. Je crois que j’ai failli manqué mes arrêts à chaque trajet tant ma lecture m’accaparait. Merveilleuse sensation… J’ai découvert la sortie de ce livre en lisant – comme chaque semaine – la chronique littéraire de ELLE. A priori ce livre avait tout pour me plaire: son auteur, son sujet, l’élogieuse critique du magazine (vous
