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Forte di Bard, jusqu’au 17 septembre 2023.

C’est bien des expositions oĂč l’on peut se rendre sans avoir Ă  rĂ©server son billet deux semaines Ă  l’avance pour ĂȘtre sĂ»re de pouvoir entrer, et oĂč il n’y a pas 100 personnes par salle. C’est rafraĂźchissant.

Les images du tournage de ce film, tout aussi mythique que le film lui-mĂȘme, sont connues, vues et revues.

Il n’empĂȘche, la magie de son casting Ă©blouissant, la lumiĂšre du dĂ©sert, l’atmosphĂšre si spĂ©ciale du tournage et l’immense talent des photographes envoyĂ©s par l’agence Magnum (Eve Arnold ; Elliott Erwitt ; Henri Cartier-Bresson ; Inge Morath, future Madame Henry Miller aprĂšs son divorce avec Marilyn Monroe ; Dennis Stock ; Ernst Haas ; Erich Hartmann ; Cornell Capa ; Bruce Davidson) rendent ce reportage de tournage passionnant et les photographies sont somptueuses.

J’ai beaucoup aimĂ© retrouver en grand format les portraits couleurs de Marilyn par Eve Arnold, ils sont incroyables.
On y retrouve la beautĂ© inouĂŻe de Monroe, les nuances de sont travail d’actrice et ce quelque chose de bouleversant dans ses yeux.

Et puis l’inoubliable Clark Gable, vieillissant, fatiguĂ©, qui mourra quelques jours aprĂšs la premiĂšre du film.
On retrouve aussi la beautĂ© solaire et pourtant malheureuse de Montgomery Clift que j’aime tellement voir prĂšs de Marilyn.

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